En haut du chemin du Manteau, la mer brille. Le spectacle est magnifique. On pense au poète Pedro Salinas qui parle de la mer lumière.
Derrière la corniche, les mûres s’offrent pour apaiser la soif.
A Fabregas, les oliviers dansent dans le vent. On s’y adosse pour grignoter du pain et du fromage.
Dans la forêt, au détour d’un sentier, l’ombre cède la place à ce soleil de septembre qui est encore d’été, chaud et lourd. Mais là, des arbouses affichent avec détermination au milieu des feuilles vert luisant de leur arbre, leur rouge et leur orange, première évocation de l’automne.
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Le butin de la balade.